La Bête Noire / Le Socle Commun

Une soirée avec deux spectacles à La Renaissance, à l'occasion du Festival Spring

La Renaissance

Rue de l’Hôtellerie

14120 Mondeville

02 31 35 65 94

 

Le mercredi 20 mars à 20h30

Deux spectacles proposés à La Renaissance dans le cadre du Festival Spring (le festival des nouvelles formes de cirque en Normandie) qui se déroule du 7 mars au 7 avril 2019.

 

La Bête Noire par la  Cie L’Oublié(e)

Une danse, comme une lumière dans le noir. Le portrait d’une femme apparaît en filigrane dans les fragments de son histoire.
On entrevoit le contour de nos états d’âmes, nos rêves, nos traumatismes, nos choix, nos moments de grâce, nos contradictions…

De et avec Raphaëlle Boitel
Collaboration Tristan Baudoin.

 

« A travers cette «chorégraphie performative», j’ai souhaité évoquer les souffrances que nous nous infligeons, celles qu’on nous
infligent et les pressions qu’on peut nous faire subir, les sacrifices qu’on accepte. Poser aussi la question de l’identité et de
l’effacement de la personnalité. J’ai rêvé ce projet comme une introspection de l’être. Une exploration au cœur de cette
femme, à qui on ne demande de n’être plus qu’un corps. Un corps
déshumanisé. Un corps animal. Une référence à un passé de contorsionniste pour qui les stigmates, comme c’est le cas pour beaucoup d’acteurs du corps, du cirque de la danse ou du sport, sont irrémédiables.
Une femme, avant tout donc, qui puise en elle et dans un corps en lutte et qui se transforme, la force pour supporter la douleur. Les
douleurs. Elle est comme un fil, qui se tord, prêt à rompre à tout moment. Un fil relié à la vie, à l’amour, à la mort. Manipulé par
un homme dans la pénombre. Mis en lumière comme une broderie fine dans un rayon lumineux; se dessinent le corps et la vie d’une femme, dans sa complexité sauvage, sa beauté fragile. Et la beauté de la laideur. Nos passions, nos terreurs ; nos dualités. Notre humanité. Notre être. Notre vie. » Raphaëlle Boitel

 

 

Le Socle Commun par Galapiat Cirque

Un acrobate et 40 chaises.
La chaise devient un objet de prouesse, et renverse nos perceptions du monde.
En les empilant, le doute s’installe et leur apparente stabilité est démasquée : tout finit par s’effondrer… comme un château
de cartes.

De et avec Lucho Smit.

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Par Maryline Bart, le .

Crédits

Pierre Planchenault

Enrico Bartolucci